Ta disparition nous a frappés comme une foudre.
Ta famille a perdu,en toi,sa principale poutre.
Tu es parti sans nous le dire!
Tu es parti sans nous avertir!
Tu ne nous as laissé que des souvenirs!
Tu nous as plongés dans de longs soupirs!
Non!J'entends encore tes éclats de rires!
De loin,je vois encore ta silhouette, venir!
Otez-vous s'il vous plait ,linceul pour voir,
Car je n'arrive pas encore à y croire.
Je veux jeter sur lui un ultime regard,
Et lui balbutier au lieu(d'adieu) (au revoir),
Car de nous rencontrer je garde encore l'espoir,
Un jour peut-être,un mois le matin ou le soir,
Ici,là-bas,ailleurs,je ne sais ou,quelque part.
Hélas!C'est sur,il ne viendra jamais nous voir!
O mort cruelle,perfide et impitoyable!
Tu nous as frustrés d'un ami irremplaçable!
Un intime aimé de tous et serviable!
Si tu étais guerrier,je me vengerais avec mon sabre!
Si tu étais désert,j'avalerais tes dunes de sable!
Si tu étais océan,je m'érigerais en cyclone redoutable!
Tu as fané la fleur de son age!
Tu as fait couler les larmes en orage!
Qu'ils soient maudits ces horribles accidents,
Qui moissonnent bêtement la vie des innocents!
Combien la circulation routière,
Est devenue dernièrement meurtrière!
Tu en es une victime,comme les autres,Moha!
Je ne peux que te souhaiter bon séjour à l'au-de-là,
Visiter ta tombe en y posant un bouquet de lilas,
Lire avant de partir sur ton âme la Fatiha,
Prier le tout Puissant de nous doter de patience,
Afin de pouvoir supporter ton absence!
Nous sommes à Dieu et à lui nous retournons!
Je dédie ces vers à l'âme des victimes tourouguiennes et amaghoises de la circulation routière tels que Rassam Moha,Hama M'bark,Chnoun Hmou et les autres,que Dieu
ait les défunts en sa sainte miséricorde!
Ta famille a perdu,en toi,sa principale poutre.
Tu es parti sans nous le dire!
Tu es parti sans nous avertir!
Tu ne nous as laissé que des souvenirs!
Tu nous as plongés dans de longs soupirs!
Non!J'entends encore tes éclats de rires!
De loin,je vois encore ta silhouette, venir!
Otez-vous s'il vous plait ,linceul pour voir,
Car je n'arrive pas encore à y croire.
Je veux jeter sur lui un ultime regard,
Et lui balbutier au lieu(d'adieu) (au revoir),
Car de nous rencontrer je garde encore l'espoir,
Un jour peut-être,un mois le matin ou le soir,
Ici,là-bas,ailleurs,je ne sais ou,quelque part.
Hélas!C'est sur,il ne viendra jamais nous voir!
O mort cruelle,perfide et impitoyable!
Tu nous as frustrés d'un ami irremplaçable!
Un intime aimé de tous et serviable!
Si tu étais guerrier,je me vengerais avec mon sabre!
Si tu étais désert,j'avalerais tes dunes de sable!
Si tu étais océan,je m'érigerais en cyclone redoutable!
Tu as fané la fleur de son age!
Tu as fait couler les larmes en orage!
Qu'ils soient maudits ces horribles accidents,
Qui moissonnent bêtement la vie des innocents!
Combien la circulation routière,
Est devenue dernièrement meurtrière!
Tu en es une victime,comme les autres,Moha!
Je ne peux que te souhaiter bon séjour à l'au-de-là,
Visiter ta tombe en y posant un bouquet de lilas,
Lire avant de partir sur ton âme la Fatiha,
Prier le tout Puissant de nous doter de patience,
Afin de pouvoir supporter ton absence!
Nous sommes à Dieu et à lui nous retournons!
Je dédie ces vers à l'âme des victimes tourouguiennes et amaghoises de la circulation routière tels que Rassam Moha,Hama M'bark,Chnoun Hmou et les autres,que Dieu
ait les défunts en sa sainte miséricorde!
